Les frais non remboursés par la Sécurité sociale : nos conseils et solutions
Les frais non remboursés par la Sécurité sociale peuvent rapidement peser lourd dans votre budget santé.
Malgré une majorité des frais médicaux pris en charge par l’Assurance maladie, parfois, c’est à vous de payer ces soins.
Si vous doutiez encore à rejoindre une mutuelle, cet article va certainement vous convaincre.
Pourquoi ?
Parce que c’est elle qui va vous permettre d’accéder à ces soins plus aisément.
- Quelles sont les bonnes pratiques à adopter pour être le mieux remboursé ?
- Quels sont les frais qui ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale ?
- Que propose la mutuelle MIASC pour vous permettre d’accéder à ces soins à moindre frais ?
Aujourd’hui, on vous explique tout.
Nos conseils pour ne pas passer à côté d’un remboursement par la Sécurité sociale
Il y a plusieurs choses à faire afin que vos frais soient pris en charge par la sécurité sociale et votre mutuelle.
1. Se renseigner sur le secteur dont fait partie le médecin que vous consultez
Les médecins appartiennent à différents secteurs.
- Dans le secteur 1, on retrouve les médecins qui ne pratiquent pas de dépassements d’honoraires. Vous serez donc remboursés à hauteur de 70% par la sécurité sociale. Le reste sera complété par votre mutuelle.
- Dans le secteur 2, on retrouve les médecins qui pratiquent les dépassements d’honoraires. En général, cela reste raisonnable et selon le choix de votre mutuelle, ce dépassement peut être comblé en totalité.
- Concernant le secteur 3, les médecins de ce secteur sont plus rares. Leurs tarifs sont libres et souvent élevés. Ces soins sont très mal remboursés.
Si vous optez pour un médecin de secteur 2, nous vous conseillons de vous renseigner et de privilégier les médecins qui adhèrent à l’OPTAM (Option de Pratique Tarifaire Maitrisée). Il s’agit des médecins qui pratiquent les dépassements d’honoraires, mais s’engagent à respecter un taux de dépassement moyen et raisonnable.
2. Respecter et suivre le parcours de soin coordonné
Le parcours de soin coordonné ne rime pas forcément avec parcours du combattant. Regardez, c’est très simple.
Vous avez pris rendez-vous chez un spécialiste, par exemple chez un ophtalmologue. Au moment du rendez-vous, on vous demande le nom de votre médecin traitant.
Aïe, vous n’en avez pas…
Conséquence : La sécurité sociale ne vous remboursera que 30% de ce soin au lieu des 70% habituels.
Alors, quelle est la bonne pratique à suivre ?
Nous vous conseillons de choisir un médecin qui vous convient. Ensuite, déclarez-le comme votre médecin traitant. Vous avez deux options pour le faire.
- Soit par courrier. Votre médecin doit remplir un formulaire qui sera ensuite envoyé à votre Assurance maladie.
- Soit directement par internet. Votre médecin peut déclarer en ligne qu’il est votre médecin traitant.
C’est rapide et ça apporte beaucoup d’avantages, croyez-nous.
En ayant un médecin traitant, vous pourrez donc bénéficier d’un remboursement de 70% de la Sécurité sociale et du reste par votre mutuelle.
Dernière étape, très importante.
Pour suivre le parcours de soin coordonné, vous devez, dans un premier temps, prendre rendez-vous chez votre médecin traitant. Grâce à l’ordonnance de ce dernier, vous pourrez ensuite prendre rendez-vous chez un spécialiste et bénéficier des remboursements.
Les frais non remboursés par la Sécurité sociale
Et nos solutions
Cependant, certains frais ne sont pas remboursés par la sécurité sociale, et ce même en suivant le parcours de soin coordonné.
On y retrouve :
Les médecines non conventionnelles (ou médecines douces)
La plupart des soins en médecine non conventionnelle ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale, car leur efficacité n’a pas été reconnue scientifiquement.
Certaines médecines douces sont remboursées en partie par la Sécurité sociale lorsqu’elles répondent à certaines pathologies et qu’elles suivent le parcours de soin coordonné. Mais de manière générale, ce sera à vous de payer.
Notre solution :
La MIASC prend en charge le remboursement d’une vingtaine de médecines douces à hauteur de 50%. Contrairement à d’autres mutuelles, cette prise en charge est proposée peu importe l’offre que vous choisissez.
Cette prise en charge peut même atteindre les 100% si vous complétez votre offre avec une option de surcomplémentaire.
Certaines analyses en laboratoire
En général, la Sécurité sociale prend en charge, en partie ou en totalité, les analyses en laboratoire. Cependant, certains actes sont hors nomenclature et donc ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale.
Le laboratoire vous informera toujours lorsque que c’est le cas avant le rendez-vous.
Notre solution :
Les analyses hors nomenclatures peuvent également être prises en charge à 50 % par notre mutuelle.
Certains médicaments en pharmacie
Les médicaments remboursés par la Sécurité sociale
Concernant les médicaments, un code couleur a été mis en place afin de connaître le taux de remboursement par la Sécurité sociale.
Voici le taux de remboursement de la Sécurité sociale selon la couleur des vignettes présentes sur les boites de médicaments :
- Vignette blanche : 100 %
- Vignette blanche barrée : 65 %
- Vignette bleue : 30 %
- Vignette orange : 15 %
La mutuelle MIASC complète à 100 % de la base de remboursement de la Sécurité sociale l’ensemble de ces vignettes.
Les médicaments prescrits, mais non remboursés par la Sécurité sociale
De plus en plus, la Sécurité sociale se désengage des remboursements de certains médicaments.
Cela est dû à deux raisons :
- soit parce que le niveau d’efficacité SMR (service médical rendu) est jugé insuffisant par HAS (haute autorité de santé).
- soit parce que de nouveaux traitements plus performants arrivent sur le marché et l’Assurance Maladie ne peut intervenir sur l’ensemble des remboursements. Elle décide donc de faire un choix.
Notre solution :
Les médicaments prescrits par votre médecin traitant et non remboursés par l’Assurance Maladie sont pris en charge à hauteur de 50% par la Mutuelle MIASC. Cette prise en charge peut atteindre les 100% lorsque vous optez avec l’une de nos options surcomplémentaires « Option 14 » ou « Option 15 ».
De plus, nous prenons en charge la pilule contraceptive pour les moins de 25 ans à hauteur de 50 %.
Certains frais en optique, dentaire ou appareil auditif
On le sait, ces soins sont particulièrement onéreux.
En général, la sécurité sociale prend en charge 60 % des frais dans ces domaines. Le reste à charge représente souvent un budget encore élevé. Choisir une mutuelle adaptée à ses besoins vous permettra de combler ce reste à payer.
Cependant, certains soins tels que les implants ou certaines lentilles jetables ne sont pas du tout pris en charge par la Sécurité sociale.
Notre solution :
- En optique :
À savoir que selon la garantie choisie, la MIASC peut prendre en charge le paiement des lentilles de contact refusées jusqu’à 200 euros par an et par bénéficiaire. Cette prise en charge peut être complétée grâce à nos surcomplémentaires « Option 14 » ou « Option 15 ».
- Dentaire :
Un soin qui peut rapidement demander un budget conséquent en dentaire est l’implant. En moyenne, il faut compter un minimum de 700 euros pour un implant.
La MIASC intervient en prenant en charge jusqu’à 500 euros par implant grâce à son offre Activa. Vous pouvez bénéficier de 150 euros de remboursement complémentaire en choisissant notre surcomplémentaire RO15.
Pour avoir un premier aperçu de nos offres, rendez-vous sur notre page Offres santé et n’hésitez pas à nous contacter via ce formulaire afin de recevoir nos plaquettes de garanties ainsi qu’une aide personnalisée.
Merci pour l’info
Pour soigner des épisodes dépressifs j’ai recours à l’homéopathie qui s’avère très efficace dans mon cas.
Remboursez vous la prise de ces granulés ? Combien et comment ?
Merci pour votre réponse.